
En dehors de ceux qui prolongent leurs vacances ou des sécheurs occasionnels de cours, certains enfants quittent complètement le système scolaire, "décrochent" de l'école avant 16 ans.
Pour tenter de comprendre ce phénomène, une étude a été publiée mardi par des sociologues et spécialistes de sciences de l'éducation, sous la direction du ministère de l'Education nationale, de la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, du Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations et de la Délégation interministérielle à la Ville.
Tandis que l'absentéisme scolaire commence à être évalué avec précision, la descolarisation reste un phénomène difficile à cerner mais qui devient inquiétant parce qu'en constante augmentation.
Engagé en 1999, lorsque les statisticiens du ministère ont constaté que moins de 100% des 14-16 ans étaient scolarisés en France, ce travail a montré notamment que ce phénomène concernait "principalement des jeunes issus des couches les plus marginalisées des catégories populaires".
L'étude met également en évidence la "sur-représentation" des garçons, des "contextes familiaux souvent difficiles" et "la convergence des facteurs sociaux et familiaux".
Pour tenter de comprendre ce phénomène, une étude a été publiée mardi par des sociologues et spécialistes de sciences de l'éducation, sous la direction du ministère de l'Education nationale, de la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, du Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations et de la Délégation interministérielle à la Ville.
Tandis que l'absentéisme scolaire commence à être évalué avec précision, la descolarisation reste un phénomène difficile à cerner mais qui devient inquiétant parce qu'en constante augmentation.
Engagé en 1999, lorsque les statisticiens du ministère ont constaté que moins de 100% des 14-16 ans étaient scolarisés en France, ce travail a montré notamment que ce phénomène concernait "principalement des jeunes issus des couches les plus marginalisées des catégories populaires".
L'étude met également en évidence la "sur-représentation" des garçons, des "contextes familiaux souvent difficiles" et "la convergence des facteurs sociaux et familiaux".